Quand nous avons débarqué dans la région, refroidis par quelques années de lotissement aux maisons mitoyennes dans une banlieue lointaine de Paris mais banlieue quand-même, nous avons cherché et trouvé une maison sans voisin avec un terrain suffisamment grand pour ne pas courir le risque d’en avoir trop près.

La viticulture a laissé quelques petites forêts et bosquets par ci par là.
Donc, mais c’est assez rare, il y a des visites surprenantes et agréables.
Sauf quand ce sont des sangliers qui labourent le terrain, ce n’est arrivé qu’une fois, ou une meute de chiens de chasseurs qui ont pris notre chat pour un lapin. Ça aussi ce n’est arrivé qu’une fois. Le chat est enterré quelque part dans le jardin.

Il y a parfois des faisans qui échappent aux chasseurs et traversent la saison sans se faire choper mais malheureusement cela ne dure pas.
Aujourd’hui c’était un chevreuil et j’ai eu le temps de récupérer mon appareil photo. Il a fallu être rapide, l’animal sauvage se méfie de l’homme et il a bien raison.
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